Alléchant comme titre non? Vous allez être déçu, c’est un truc qui me trotte dans la tête depuis des jours, rien de mature, il fallait que je mette ça par écrit. C’est frocaboy qui m’a donné cette idée un mardi soir en réunion. Car il faut savoir qu’en réunion j’en glande pas une. J’écoute les délires marketing de mon collègue en faisant des dessins #ah_si_seulement_j_etais_trader. Retournons à nos moutons, pourquoi pearltrees serait le cerveau du web ?

• On a déjà pleins de capteurs sensoriels: twitter, facebook, flux RSS.
• Il manque un cerveau.

Vous imaginez en gros les caractéristiques des capteurs sensoriels: en permanence sollicités, qui filtrent les informations, ça colle plutôt bien à twitter & co.
Et bien j’ai appris dernièrement qu’une des propriétés fondamentales de notre cerveau est sa capacité à changer sa structure tout au long de notre vie. Et c’est très exactement ce qui se passe sur pearltrees, je réorganise régulièrement mes cartes et mes sous-cartes. A cela s’ajoute les travaux effectués sur la mémorisation via les outils de mindmapping. Tout ça explique pourquoi je sais très exactement ou sont les 1500 perles de mon compte.  Pearltrees, candidat potentiel pour devenir le cerveau du web ? #hype #buzz #titredeouf

En ce moment chez Got une belle liste des idées reçues du web sémantique. Voila une résumé des différents points:

• « Le Web sémantique consiste à faire des documents XML valides par rapport à un schéma XML »
• « Le Web sémantique va permettre d’améliorer la recherche dans les moteurs en apportant une analyse sémantique »
• « Le Web sémantique est anti-social » « Le Web sémantique ne fonctionnera pas, contrairement au Web 2.0 »
• « Le Web sémantique n’est qu’une nouvelle forme de l’intelligence artificielle »
• « Le Web sémantique vise à créer un autre Web »
• « le web sémantique suppose de construire / cherche à construire une ontologie universelle »
• « pour faire un web il faut de grosses ontologies formelles »
• « les applications du web sémantiques doivent intégrer des moteurs d’inférences »
• « si je veux appliquer le web sémantique en biologie je vais être obligé de modéliser le domaine de la biologie »
• « le web sémantique est voué à l’échec car il faudrait ré-analyser et transformer tous les documents du web existant »

Allez lire les explications détaillées du taulier, ca vaut le coup !

Emmanuelle Bermès de la BnF nous livre cette super présentation qui fera plaisir à tous les bibliothécaires 2.0.